Kingdom Hearts Last Memories
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 Les mauvaises habitudes ont la vie dure !

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Raion
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Raion

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Les mauvaises habitudes ont la vie dure ! Vide
MessageSujet: Les mauvaises habitudes ont la vie dure !   Les mauvaises habitudes ont la vie dure ! EmptyLun 24 Mai - 14:13

C'est Moi !


Nom/Origine du Nom :
    Raion Shishimai... c'était mon nom d'humain, séparément les deux signifient respectivement " Lion " et " Danse du Lion ", mes " parents " devaient avoir un humour assez pourri... j'imagine. En tout cas, à présent, je n'ai gardé plus qu'un prénom, non pas en signe d'existence mais pour qu'on puisse m'identifier. Les souvenirs que je crée avec les autres sont la preuve de mon " existence ".

Âge/Taille :
    J’ai seulement 7 années derrière moi, pas de tout repos certes puisque je suis né sous ma forme « définitive », c’est-à-dire que je ne pourrais plus jamais grandir mais surtout que je n’ai jamais grandi auparavant. En gros, je suis comme une sorte de mutant, cette idée, je l’apprécie. Enfin bref - comme quoi certaines expressions ont la vie dure - je mesure environ un mètre soixante-dix-sept, je dis bien environ car je le fais à vue d’œil, devant un miroir.

Sexe :
    Bah, j’suis un mec ! Pour ainsi dire en fait, je ne me suis jamais posé ce genre de question « C’est un mec ? C’est une fille ? », je n’en ais jamais eu besoin à vrai dire. On peut dire que je restes sur des bases simples : Si ça existe, c’est pas forcément pour qu’on se pose des questions dessus. De même, je suis bisexuel, c’est une précision au passage qui me semble intéressante.

Groupe :
    Je fais partie de l’Organisation XIII, et devinez quoi ? Je suis le numéro III ! Eh ouais, je suis le un des " Fondateurs " et donc un de ceux qui donnent les ordres. Parfois j’arrive à m’échapper mais c’est pas toujours facile, heureusement que la patronne est assez lunatique !

Physique :
    Je suis comme ceci depuis toujours… mes mains fines vinrent protéger mes yeux du soleil accablant qu’il faisait au grand air. Je me trouvais près d’un cours d’eau et le ruissellement atteignait mes oreilles qui émirent le signal auditif à mon cerveau, me faisant parfois réagir pour découvrir que j’arrivais à ressentir ce semblant d’émotion, ce semblant de plaisir. L’herbe verdoyante frôlait mon dos nu que je maintenais à quelques centimètres du sol pour m’exercer, travaillant ainsi une souplesse qui semblait pourtant atteinte depuis des années déjà. Lorsque je sentis que j’en avais assez fait pour aujourd’hui mes mains vinrent, dans un mouvement gracieux, uniforme et lisse, se déposer sur le sol pour m’aider à me soulever. Je détendis mes muscles quelques peu endoloris, secouant au même moment mes pieds qui commençaient à s’engourdir. Même les semblants de résidus humains pouvaient ressentir ce genre de chose, bien que ce ne fut pas quelque chose qui me dérangea sur l’instant. Le vent passa à une vitesse hallucinante dans mes cheveux, je souris à son contact, cette sensation n’avait rien d’inhabituel mais provoquait en moi une foule d’émotions, celles que j’étais capable de ressentir de par mon statue si particulier. Du haut de mon mètre soixante-dix-sept, je commençai à marcher tranquillement vers le cours d’eau en savourant l’air qui m’entourait, dégustant les saveurs autour de moi, mais surtout les odeurs telles que celle du pin qui m’apparaissait très douce et ferme, mais aussi celle de l’eau et de la terre. Il y avait, dans cette forêt, une infinité de petits êtres vivants qui n’attendaient qu’un moment d’inattention de ma part pour fuir de leurs positions. Ils avaient peur de moi, pour la plupart, car le mélange qui m’avait créé était vraiment trop explosif pour que leur instinct ne les préserve pas de ma personne. Pourtant, je n’avais aucune intention de les poursuivre, ni même de leur faire du mal. La dernière chose que j’avais envie de faire à l’instant était de chasser, je préférais largement mettre mes pieds dans le cour d’eau et me relaxer.

    Alors que j’arrivai à hauteur du ruisseau, un autre bruit m’atteignit, plus sobre, plus fort aussi. Quand je me concentrais sur lui, je pouvais discerner des bruits de pas… un humain ? Dans la forêt du monde de la Princesse de Cœur « Blanche-Neige » ?! À moins que ce ne soit cette même princesse qui soit ici, j’en doutais cependant car son odeur ne correspondait pas. L’incertitude s’empara de moi, si c’était réellement un humain, son instinct le pousserait à éviter cet endroit, mais s’il s’agissait d’autre chose… alors, l’odeur, moins lointaine - environ cinq cent mètres selon mes estimations - se dévoila entièrement à moi quand le vent tourna en ma direction. C’était un Sans-cœur, leur odeur répugnante faite de résidus ténébreux ne me plaisait pas du tout et je me mis sur mes gardes, dévoilant une rangée de dents blanches comme de la neige immaculée, acérées comme de l’acier et aiguisées comme la faux de la Grande Faucheuse. Mes doigts se refermèrent sur eux-mêmes, formant un poing qui aurait été capable de détruire l’arbre le plus proche en dépliant simplement l’index ou l’annulaire - le majeur aurait détruit plus d’un arbre, sans aucun doute. Avec mes mains, je pouvais déraciner ces constituants de la forêt sans problèmes, c’était une particularité qui ne me gênait pas mais peut-être était-ce un peu trop. Mon sourire s’élargit en voyant que le Sans-cœur venait d’arriver, il s’agissait d’un Centaurus, je le connaissais de nom car je l’avais déjà rencontré quelques temps plus tôt, à travers les innombrables livres qui parcouraient les bibliothèques des mondes. Ce sourire qui trônait sur mon visage était totalement forcé, il n’exprimait en aucun cas mon véritable état d’esprit, j’étais vraiment énervé par cette créature qui sembla réagir à ma simple présence comme aurait réagi une personne dénuée d’instinct, m’attaquant sans vergogne, de front qui plus est. Sa lance pointue était cependant dangereuse pour moi. Le problème avec les Sans-cœur, c’est que ma peau pouvait être transpercée par leurs armes. Il se trouvait que je n’étais pas totalement l’un, ni totalement l’autre, et cela m’ennuyait. Pas totalement Simili, mais pas totalement Vampire non plus. Cependant, c’est une autre histoire.

    Lorsqu’il arriva sur moi, je sautai en l’air de façon gracieusement. Mes cheveux mi-longs vinrent caresser ma peau tandis que mon corps leste se tint quelques secondes plus tard debout sur le grand cheval ténébreux. Il commença à bouger dans tous les sens, et l’exercice de rodéo ne me passionna guère. Avec toute la puissance que je pus mettre dans mon poing, je touchai mon adversaire d’un seul coup et transperçai son armure dorsale par la même occasion, le faisant disparaître dans l’amas de ténèbres qu’il était réellement. Quand je me remis à terre, je croisai l’eau du regard. J’avais l’expression que les humains faisaient quand ils étaient… comment dire… répugnées ? Oui, le terme est bien choisi, l’odeur que dégageait cette fumée me répugnait, mais elle n’arrivait pas à percer les défenses de mon corps et ne le cherchait pas d’ailleurs : Un être sans cœur ne l’intéressait pas du tout. Mes yeux étaient d’un ocre étonnement scintillant, c’était comme ça après chacun de mes combats. Du reste de ce qui se reflétait dans l’eau, mon corps était plutôt fin, je ne pesais que soixante kilos, sans aucun gramme de graisse. Ma puissance n’était pas proportionnelle à ce genre de chose, de même le fait que mon cœur batte ne signifiait pas que j’en avais un, il s’agissait juste d’un organe permettant de créer un flux sanguin constant pour me maintenir en vie. Comme j’étais en partie Simili, j’avais au moins la moitié d’une moitié d’humain. Et les Vampires étaient en partie humain, sauf que les vrais Vampires possédaient quelques choses en plus par rapport à moi : Une peau dure comme de l’acier, une réelle capacité à ressentir toutes sortes d’émotions et une mémoire photographique. Mon esprit était plus vaste que ceux de humains et des Similis normaux, certes, et je pouvais faire cohabiter des émotions ou réfléchir à plusieurs choses en même temps. Cependant, je n’avais pas la capacité de mémorisé les choses en ne les voyant qu’une seule fois. De même, mon cœur battait alors que les Vampires avaient perdus ce point de leur anatomie et pouvaient vivre sans. Si ils se faisaient transpercer à cet endroit, ils ne mourraient pas. En échange, j’avais hérité d’une capacité de régénération hors du commun, même si elle n’agissait pas immédiatement c’était vraiment utile dans certaines circonstances. En regardant le cour d’eau je soupirais, il me fallait penser à autre chose, ma peau était parfaitement lisse, très agréable au touchée, et malgré certaines mauvaises langues, les humains, quand ils me voyaient, éprouvaient une attirance fortement visible pour moi qui contrastait avec leur instinct leur ordonnant de se tenir éloigné de moi. Tout ce jouait sur mon physique, même si en réalité j’étais une toute autre personne.

    Une fenêtre ténébreuse s’ouvrit, elle était le résidu d’un passage que je n’avais pas souvent emprunter. Ainsi, plusieurs centaines de mondes m’étaient accessibles par cette porte, certains où je ne mettrais jamais les pieds comme Le Château de Disney, relié directement à La Rivière Temporelle par une porte tout ce qu’il y a de plus étrange, blanche, immaculée, comme si elle avait été peinte de la couleur la plus neutre et la plus définie possible et qu’on ne l’avait jamais retouché depuis. Une autre image s’imposa à moi : Une plage de sable blanc et fin, les grains se délestaient peu à peu de ma main et plongeaient sur le sol déjà envahit par ces entités figées dans un silence d’immortel. Atlantica, le monde de cette image, m’était aussi inaccessible à cause de ses fonds marins. Non pas que l’eau me fit un quelconque effet, c’est juste qu’on ne m’y reverrait jamais remettre un pied, le Roi Triton était bien trop facile à mettre en colère et la foudre - en était-ce vraiment ? - qu’il avait envoyé sur moi me brûlait encore parfois les fesses - c’était seulement mental, la souffrance disparaissait presque aussitôt qu’elle arrivait. Dans son monde pourtant, j’avais une apparence bien définie : Celle d’une sirène - le mot au masculin m’est totalement inconnu - à la nageoire jaunâtre et aux yeux ocres, mes cheveux se maintenaient en suspensions dans l’eau tandis que je naviguais à contre courant ou que je descendais dans les fonds marins. C’était ainsi qu’on pouvait me décrire dans ce monde trop tyrannique à mon goût. De quel autre monde pouvais-je parler ? La Ville d’Halloween ? J’y avais mis un pied une fois, mon apparence était outrageusement éloquente, je possédais des canines pointues et acérées semblables à celles décrites dans les livres sur les vampires. Mon dos était muni d’une cape, grande, noire, elle me couvrait le corps à moitié et me permettait de me protéger des attaques ennemis en la disposant à l’avant, un avantage autant qu’un inconvénient, stratégiquement parlant ! Ma peau était encore plus pâle qu’au naturel, avec mes yeux couleurs sang je ressemblais à un albinos et mes cheveux, qui semblaient là pour accentuer ce point révélateur de ma nature la plus profonde, paraissaient avoir été teintés avec un pot de peinture noire versé directement sur ma tête, bien qu’elle eut parfaitement adhéré et que rien ne dégoulina il n’en restait pas moi que la couleur pouvait porter à confusion. Un dernier endroit où je n’avais jamais mis les pieds… le monde de Space Paranoid, étrange d’ailleurs mais son accès m’était inaccessible avec Tron et son système de sécurité. Pourtant j’avais bien tenté d’aller chercher quelques informations sur ce monde mais… impossible, le bougre m’avait pris de court ! Je revins tout à coup à ma réalité, me détachant de ce monde de contemplation intérieur que je m’étais créé. Le portail noir était toujours ouvert, malheureusement je me laissais trop distraire par ce genre de chose. Il ne s’était cependant écoulé que deux secondes durant ma réflexion. Après un soupir révélateur, je m’enfonçai dans ces obscures ténèbres, à la recherche d’un monde à visiter.

Caractère :
    Et ses mains touchèrent ma peau pâle, déclenchant chez moi un frisson de plaisir et un sentiment qui ne m’était pas inconnu, une touche d’affection pour cette fille. Elle me regardait avec ses yeux noisettes, cherchant mes lèvres avec les siennes. C’était une humaine, une proie, cependant ce semblant d’amour que j’arrivais à éprouver par moment m’empêcherait de mettre un terme à sa vie : J’irais chasser dans la forêt juste après, le sang d’animal ne me gênait pas plus que ça, celui des humains était trop imprévisible par ailleurs et m’avait par plusieurs fois dégoûter, alors qu’avoir de mauvaises surprises avec ceux incapable de réfléchir était rare. Pour l’aider dans sa quête, j’avançai mes lèvres vers elle, ses joues étaient rosâtres, le sang y affluait à cause du contact de son corps contre le mien. Ma voix veloutée l’avait séduite, elle s’était laissée berner, mais heureusement pour elle sa vie avait pris de l’importance à mes yeux. Quand elle arriva enfin à trouver mes lèvres, elle me colla contre l’oreiller. Nous venions d’arriver dans cette chambre, pourtant elle était déjà à moitié nue, ne portant qu’un soutien-gorge et une culotte légère. Je n’étais pas en âge de faire ce genre de choses normalement, mais elle m’avait séduite, bien que ce fut moi qui l’avait abordé dans un but tout à fait professionnel au départ : Boire son sang jusqu’à plus soif. Nous avions bus un verre, j’étais le genre de personne à offrir un peu de bon temps à mes proies avant de les dévorer, nous avions fait connaissance, j’avais menti avec subtilité et elle m’avait attiré jusqu’à sa chambre dans l’espoir de passer une nuit torride avec moi. Ma chemise blanche était ouverte, elle passait constamment ses mains sur ma peau, je lui souris en la repoussant légèrement au moment où elle voulut défaire ma braguette. Ses yeux me suppliaient de la laisser faire, mais au fond de moi je savais que je ne pouvais pas. Si je ne rentrais pas très vite à Illusiopolis faire mon rapport de mission, la patronne pourrait me faire subir quelques inquiétantes tortures. Quand j’avais décidé quelque chose, on ne pouvait m’empêcher d’accomplir ma tâche à part d’avoir un lien étroit avec moi ou de s’appeler Himawari. La femme aux cheveux châtains tenta de me retenir en me suppliant, roulant sa langue, tentant de me séduire. Cette fois, elle m’énervait, j’avais eu l’intention de la laisser vivre mais c’était terminé. M’exaspérer était la dernière chose à faire quand on tenait à la vie, surtout étant humain. Je lui donnai une dernière chance en dévoilant mes dents neigeuses, ce qui déclencha son instinct de survie. Elle me lâcha et recula, mes mains vinrent lui caresser les joues et je l’enivrai de mon odeur en l’embrassant passionnément. Après lui avoir offert ce dernier présent, je partis de cette chambre où j’espérais intérieurement pouvoir remettre les pieds. En passant cette porte, je m’enfonçai dans les ténèbres.

    Résultat : Pas de repas hier soir, j’avais les crocs, sérieux ! Quand j’ai faim, je deviens irascible. Je ne suis pas comme ces personnes qui cherchent à cacher leurs états d’esprits pour protéger les autres : D’une part, éprouver quelques futiles émotions m’indifférait, d’autre part les Similis avec lesquels je vivais ne pouvaient de toutes les manières pas en ressentir, ils pouvaient faire semblant d’être vexer mais là encore ce serait leur mémoire qui parlerait. Alors que moi, oui moi, je devais supporter mes états d’âmes. Vampire ? Simili ? Humain ? Lequel était le mieux ? Souffrir d’un esprit assez large pour faire coexister l’amour éprouver pour certains humains et la haine pour la race en général ? Ne rien ressentir, sans contrainte ? Ou alors ne pouvoir être qu’une créature inférieure mais capable d’aimer les autres sans conditions ? Ces questions me hantaient jours et nuits, m’énervaient alors que je cherchais à boire du sang, peu importe lequel. Et si j’en prenais un peu aux Similis présents ici ? Serai-je capable de ne pas les tuer ? Il est vrai qu’il m’était arrivé à deux reprises des altercations avec quelques sous-similis et que je les avais vidé de leur sang, celui-ci n’était pas très bon, trop amer. Sacrifier des alliés pour cette cause là ne me gênait pas, si ils n’étaient pas assez puissant pour résister à la perte de deux ou trois litres de sang, ils ne méritaient certainement pas d’être dans nos rangs, je m’en étais convaincu. Ainsi les sept sacrifices ne furent pas vains de mon point de vue, mais il fallait à présent que j’aille chasser, que je trouve du sang. Qui ? Où ? L’image de la fille d’hier soir me revint en mémoire, mais je me souvins aussi de la peine que j’avais eu après avoir bu le sang de cet homme, le mois précédent. Ça n’avait pas duré, cependant sur le coup j’avais eu l’impression de perdre une partie de moi-même, la souffrance existait chez moi de cette manière aussi. Émotion positive ou négative ? Certaines ne pouvaient pas être ressenties : La peur. Je ne pouvais pas l’éprouver, je ne pouvais pas être intimider par une quelconque parole menaçante, je devais faire semblant. La seule façon de me faire plier était d’avoir ma reconnaissance. Peu de personnes l’avaient. Himawari l’avait. Notre chef, mais aussi cette humaine, la veille, qui m’avait offert un bref moment de détente. Si les autres apprenaient que la personne qui hait le plus la race humaine aimait aussi s’attirer les faveurs de certains d’entre eux, ils seraient en colère, car eux poursuivent un but plus terne, qui mettrait fin à l’existence de la noirceur, des ténèbres provenant de ces mêmes humains. Si les ténèbres n’existaient pas, nous n’existerions pas, nous aurions poursuivi nos vies d’humains insignifiantes, et ces douleurs que nous avions ressenti à l’époque reviendrait se heurter à nos cœurs défaillants.

    Les fougères donnaient une notion d’épaisseur à la forêt alors qu’en réalité celle-ci ne devait faire qu’une centaine d’hectares. C’était un des plus petits bois de ce monde, l’un de mes terrains de chasses préférés, et ma proie se trouvait juste devant moi. Ce devait être un croisement entre une sorte de cerf pour la finesse de son corps, ses bois et ses pattes avec un lion pour la crinière et les oreilles. Il avait une bonne ouïe, c’était un carnassier, comme moi, et la proie qu’il tenait entre les dents m’indiquait que son sang allait être encore plus succulent que ce que j’avais prévu. Les carnivores avaient un goût qui se rapprochait du sang humain pur. Mes pieds craquèrent une branche, l’animal tourna sa tête vers moi et m’aperçut. Je lui sautai à la gorge, mes instincts avaient pris le dessus : Je n’étais plus un Simili, ni même une moitié d’humain. J’étais un vampire, un vrai. Les arbres autour de moi défilèrent à une vitesse impressionnante durant le temps que dura la course poursuite. Puis mes dents vinrent s’enfoncer dans sa jugulaire après un geste agile qui m’avait permis de lui casser le cou. La chasse était un jeu auquel j’aimais m’adonner. C’est vrai, il y avait en moi un côté joueur, un côté téméraire. De qui venait-il ? De mes contacts dans ce monde ? Qui sait, peut-être était-ce ce qui m’avait toujours caractérisé. Ne pouvant ressentir aucune peur, ne pouvant être animé que par d’autres choses, ayant perdu mon instinct, je m’enfonçais doucement dans les ténèbres les plus profondes et les plus noirs que le monde ait connu : Celles dans lesquelles nombres d’hommes étaient tombés. Les ténèbres de l’âme.

Histoire :
    Je suis né il y a bien plus longtemps que ce que laisse supposer mon âge… vous comprendrez, en lisant la suite de cette histoire, celle de mon corps, celle de mon âme. Les moniteurs étaient allumés, comme toujours, j’entendais mon souffle saccadé, mais je ne voyais plus rien. Mes yeux avaient envie de laisser s’écouler ma peine, cependant les médecins m’avaient avoué après quelques tentatives gênées que j’avais perdu ceux-ci : Mon agresseur me les avait arrachés. Ma mère était venue, en larme, elle tentait de me réconforter. Je ne pourrais plus jamais voir ? J’étais aveugle ? Comment était-ce possible ? Je ne pouvais pas, je devais voir, je devais l’aider… elle avait besoin de mon aide, ils avaient tous besoin de mon aide ! Si je n’y retournais pas… des visages d’enfants pleurants m’apparurent, ou plutôt une sensation car les images ne se formaient plus dans mon cerveau à présent. Ainsi, c’est comme si je n’avais jamais vu. Mon cœur me semblait aussi lourd que du plomb, je ne pouvais plus bouger, le fait est que ma jambe droite m’avait aussi été retiré. Quand je posais des questions sur les enfants, personne ne me répondait, mais un jour j’ai réussi à les entendre dans le couloir. Morts, tous, un vrai massacre. Alors l’image me revint, ou plutôt le souvenir, la sensation, les bruits, l’odeur du sang. Cette main qui s’était posée sur moi, arrachée à sa son corps. La petite fille hurlait, les enfants que je protégeais de la mort depuis des mois hurlaient tous. Ils mourraient dans d’atroces souffrances et je tentais de les aider, c’était à ce moment là que j’avais perdu mes yeux, quand cet homme avait pris… la scène ne me revenait pas entièrement, je vomissais, j’hurlais. J’avais l’impression de devenir fou, ils étaient morts, tous, pas un seul survivant. Et j’avais l’impression d’être mort avec eux. Mon cœur s’engouffrait donc dans les ténèbres, peu à peu, ma seule lumière était ma mère, elle restait à mon chevet sans cesse. Mon frère venait de temps en temps me rendre visite mais il n’aimait pas ça, me voir si faible alors que j’étais celui qui l’avait protégé étant jeune le rendait… malade ? Oui, le mot est bien choisi, il ne pouvait pas supporté mon état. Et mon père dans tout ça, il ne m’a rendu visite qu’une fois et n’est resté que quelques minutes, sa haine pour moi, celle qu’il a nourri pour moi durant toute mon enfance à cause de ma « naissance accidentelle »… c’était vrai, j’étais un accident, et ma lumière s’éteignait peu à peu. Un jour, elle est revenue dans ma chambre d’hôpital et je n’y étais plus. Deux jours plus tard, on me retrouva dans une cave, deux corps à mes côtés : Un homme et une femme. Ces deux personnes étaient à l’origine du massacre de toutes les personnes que je protégeais. Légalement, mon monde m’a condamné, mais comme j’étais infirme l’hôpital fut mon centre de pénitence. Comment avais-je réussi à les tuer avec une jambe en moins et en étant aveugle ? Simili et Sans-cœur… contrairement aux autres de ma nouvelle espèce, ma haine avait surmonté l’épreuve de la transformation et ma haine avait pris le dessus, mes deux parties s’étaient unis pour tuer ces personnes. Ainsi, je ne ressentis plus rien, ce que ma mère ne tarda pas à remarquer. Alors que je gémissais sans cesse avant, à la place de pleurs inexistants, je n’exprimais plus rien à présent. Les médecins ont mis ça sur le compte des meurtres : J’avais torturé mes proies pendant deux jours avant de les achever. Ma mère savait, elle avait l’instinct… et elle m’enferma ainsi dans un caisson, privé de ma liberté de mouvement, de ma vue et du contact avec ma deuxième partie, je ne pus qu’éprouver une haine sans fondement pour elle. Pas aussi forte qu’à un autre moment, mais il me fallait ressasser quelques idées folles pour arriver à survivre.

    Trente ans… à ne rien faire, à geindre, à hurler ma colère puis à me taire. Ce fut le temps que je passai dans le caisson, il me fallut presque autant de temps avant de comprendre que je parlais dans le vide à présent. Ma mère était morte depuis dix ans : En soixante ans durant lesquelles mon corps n’a pas vieilli, je n’ai pas remarqué que ma mère était morte depuis dix ans. Quand je l’ai compris, j’ai éclaté de rire, il m’a fallu un long moment pour comprendre que ma pénitence serait sans fin… jusqu’à ce jour, maudit ou béni ? C’est cette journée qui m’a conduit à devenir une créature surhumaine. Un vampire. Ma nièce, la fille de mon frère, a retrouvé les recherches de ma mère sur la façon dont me rendre un cœur, et dans notre monde une espèce était compatible avec ma partie Simili : Les Vampires. À moitié humain, il pourrait me rendre ce que j’avais perdu. En bonne scientifique, ma nièce décida d’abord de faire des essais sur d’autres cobayes, quelques cadavres récupérés à la morgue ou alors dans un premier temps sur des animaux. Puis, elle commença sa capture de vrais Similis, je n’avais pas prononcé un mot, attendant qu’elle se lasse. Puis un jour, j’en eu marre, ma condition ne me plaisait plus. Il me fallait changer, y remédier, ainsi je passai un marcher : Elle pourrait faire toutes les expériences qu’elle voudrait sur moi, tant qu’elle me donnait ensuite une vie d’immortel. Notre accord passé, je pus rappeler ma partie sombre qui semblait m’obéir grâce au lien qui nous unissait. Il appela ses alliés et captura un grand nombre de mes congénères. Nous fîmes nombres de tueries, je n’avais pas de cœur, et je n’en avertis pas ma nièce, elle était gentille et emplie d’une pureté infantile qui contrastait avec son acharnement dans la médecine. Puis je compris, un jour, ce qui la motivait : Elle m’aimait. D’une certaine manière, c’était un avantage, mais mes souvenirs sensoriels d’humains me rappelait la peine de perdre un être qui nous était chère : J’avais perdu Diane, elle avait le même âge que moi quand nous avions été kidnappés à nos familles respectives. Parfois, je sentais encore son bras m’effleurer la peau. Ce bras qui ne lui appartenait plus.

    Une année entière s’écoula, les Similis devenaient de plus en plus nombreux alors que j’avais eu l’impression au début d’être seul au monde, il se trouvait que nous étions tous « liés » par notre incapacité à ressentir des émotions. Les Similis ayant des formes humaines étaient rares et très difficiles à attraper : Seuls trois spécimens nous étaient parvenu durant cette année, et l’un d’entre eux avait bien failli me tuer. L’anésthésie ne marchait pas sur nous, d’ailleurs ça avait le point de notre principal débat entre ma nièce et moi. Certains de notre espèce la rejetait, dont moi, alors que d’autres y étaient tout à fait réceptifs. Leurs cris de douleur leurs étaient insupportables à la doctoresse qui semblait préférer me laisser me charger de ce genre de choses, comme j’étais aveugle l’aide de ma moitié ténébreuse m’était d’une grande utilité. Elle était mes yeux, j’étais son cerveau, puisqu’elle n’était censé réagir qu’à l’instinct, ce qui n’était pas tout à fait le cas : La haine la faisait réagir. Nous continuâmes nos expériences, plus nous avancions, plus nous tombions sur des choses désagréables : Il était rares que les gènes de vampire et de Simili soient directement compatible, mais une idée me vint alors… utiliser les ténèbres pour lier les deux parties. Ce fut un succès dans seulement 15% des cas, quelque chose comme une incompatibilité au niveau de l’âme ou un truc du genre, nos expériences ne s’arrêtèrent cependant pas. Je me demandais combien de temps il s’était écoulé… un an ? Deux, dix peut-être ! Qui savait ? En tout cas, lorsque nous réussîmes enfin à mettre la main sur la bonne combinaison, nous décidions de ne pas tester de suite : Il nous fallait être prudent, très prudent, car certains étaient morts une seconde fois dans d’atroce souffrance. Les gènes de vampires furent plus faciles à trouver que ce à quoi je m’attendais, nous en capturâmes un rapidement et grâce à certains gadgets très puissants, nous réussîmes à percer sa peau. Il était cependant trop dangereux, alors je le tuai, brûlant son corps sans laisser une seule trace derrière moi. Tuer avait un goût tellement libérateur lorsque j’étais entièrement Simili… et à présent… ma nièce me réprimandait souvent, sa voix avait vieilli, quel âge avait-elle ? Soixante ans, pas moins. Ainsi, c’est à cette époque qu’elle pratiqua mon « opération », la fusion des gènes de vampires et de ceux de Similis. Ma moitié ténébreuse se déconnecta de moi à ce moment, car en quelques heures seulement toute ma haine laissa place à de la culpabilité, puis de nouveaux une haine contre le genre humain. Ils avaient détruit ma vie, mais la capacité de régénération des vampires m’avaient redonnés les deux choses que j’avais perdu : Ma jambe droite et ma vue.

    Commença alors ma nouvelle vie. Ma nièce mourut rapidement, ça m’évita la tâche gênante de lui annoncer mon départ, mais en même temps ça me rendait un peu triste. Elle avait vécu toute sa vie pour me voir entier et n’avait eu que très rapidement cette occasion. Mon monde était assez spécial à l’époque : Il était séparé des autres mondes et possédait son propre espace temps. Ainsi les cent vingt dernières années que j’avais vécu là-bas se résumaient à seulement un mois et demi dans les autres mondes. J’arrivai alors que les Similis étaient à peine créer, mon monde en dehors du temps avait eu une certaine avance sur ce point là. Je découvris alors les mondes que je n’avais jamais visité durant ma vie de Similis, avec toutes les émotions qui m’accompagnent actuellement : Atlantica fut mon premier voyage où je découvris que l’on changeait parfois d’apparence en fonction du monde. Ce fut aussi là qu’il m’arriva une certaine mésaventure, m’obligeant à ne plus remettre un pied là-bas [Voir Physique - Pour plus d’explication, voir In Rp]. Je partis donc ensuite pour un monde nommé Le Château de la Bête où je rencontrais pour la première fois le Prince, il n’avait pas encore été transformé en Bête à cette époque, son caractère orgueilleux, égocentrique, invoqua en moi l’envie de le tuer, mais je n’en fis rien, sachant que l’odeur de son sang me rendrait malade et évoquerait certains souvenirs de mon passé humain. Mon corps bougeait sans but à cet époque, je voulais trouver un moyen de créer un fossé entre les humains et les Similis. Quelques dizaines de mondes, un an, plus tard, j’entendis parler de Maléfique et de sa bande. Cherchant à m’en servir, j’allais à la Forteresse Oubliée, seulement les plans de cette personne puaient les ténèbres : Ils n’avaient rien d’idéals pour moi, mais si elle y arrivait alors j’avais prévu quelques stratagèmes pour la faire plonger avec ses créatures. Mais une personne s’en occupa avant que j’ai eu le temps d’intervenir : Sora. Un maître de la Keyblade ? C’était quoi ce bordel ? J’arrivais pas à le croire, et pourtant des rumeurs vinrent à mes oreilles. Il aurait réussi, à lui tout seul, à vaincre 5 Similis de l’Organisation XIII… décidément, surprenant le gamin ! Quelques années passèrent durant lesquelles ses exploits ne cessèrent d’arriver à mes oreilles, cependant il ne m’obséda pas tant que ça : Je savais ce que je savais, l’Organisation XIII me semblait plus intéressante. Après moult recherches sur elle, je finis par découvrir des choses plus intéressantes que je ne le pensais. Et alors que j’étais perdu au milieu de nulle part, cherchant un but, elle vint m’en donner un : Himawari, voulant créer une nouvelle Organisation, elle me demanda de la rejoindre dans sa quête de pouvoir, ce que je fis sans hésiter. Ainsi, nous devîmes les Fondateurs. Au nombre de trois, Himawari, le Chemin sur lequel nous traçâmes notre route, Rixak, avec qui j’avais parfois du mal à m’entendre puisque, pour moi, les humains ne représentaient pas grand choses et moi-même. D’autres vinrent nous rejoindre, certains arrivèrent et partirent presque aussitôt tellement leur force était insignifiante. Puisque j’étais celui qui n’éprouvait qu’une haine viscérale pour les humains, je me chargeais les tuer, les Similis n’éprouvaient pas d’émotions mais j’étais spécial… sans cœur pourtant, mais humain. C’est ainsi que lorsque je rencontrais une nouvelle fois ma partie ténébreuse, le combat fut inévitable : Si je voulais redevenir entier, un but secondaire, je devais faire en sorte que mon cœur atteigne Kingdom Hearts. Un combat s’engagea entre nous deux : Nous étions presque de force égal, mais au contact de l’Organisation et grâce à mon côté vampirique, je l’emportai de justesse. Après cela, les ténèbres commencèrent à devenir une infection à mes yeux, je ne haïssais plus totalement les humains : Les ténèbres étaient pires, leur extermination était primordial.

    C’est ainsi que aujourd’hui, je suis devenu le Numéro III de l’Organisation XIII dans le seul et unique but de mettre un terme à l’avancement des ténèbres, Kingdom Hearts serait mon but, et j’ouvrirais sa porte de mes mains s’il le faut.

Autre(s) :
    Il n'y a rien d'autre à dire sur moi, je suis un Vampire et un Simili. Une bataille se déroule à l'intérieur de moi, et pourtant je ne peux que choisir le chemin qui me mènera vers l'obscurité. Tout est déjà écrit, à moins que quelqu'un ne me sauve de sa lumière.


Informations Complémentaires : Parole au Vrai Narrateur !


Origine(s) :
    C'est un personnage de Durarara, Masaomi Kida. En gros, c'est un Inventé.


Fiche Technique : Pour Fighter les Ennemis !


Type d'Arme :
    Je me bats au corps à corps, mes bras, mes jambes, mes dents sont mes armes. Mon corps est l'arme de destruction massive dont je me sers depuis toujours.

Invocation :
    C'est un peu ironique, mais mon invocation est un Lion. Je peux l'invoquer à mon bon vouloir et il vient soit renforcer ma puissance, soit m'accompagner lors de mes combats. Il est de type offensif, et je peux dire que je l'adore ! C'est sûr que parfois je l'invoque en dehors des combats, mais c'est juste pour m'amuser !


Dernière édition par Raion le Mar 27 Juil - 16:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les mauvaises habitudes ont la vie dure !   Les mauvaises habitudes ont la vie dure ! EmptyMar 27 Juil - 16:22

    ♪ J'ai fini ma fiche ♪
    Quoi, vous n'y croyez plus ? Bouh ! Eh bah si personne veut me valider, je m'auto-validerais =D
    Bon, je laisse aux admins ce prestige cette tâche.
    Bon Courage ^-^
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MessageSujet: Re: Les mauvaises habitudes ont la vie dure !   Les mauvaises habitudes ont la vie dure ! EmptyMar 27 Juil - 19:18

Tu me fais penser qu'il faut absolument que je refasse ma fiche, elle manque de consistance Very Happy ...
Franchement j'ai beaucoup de choses à dire sur ta fiche... :

_ Ce fut d'abord un plaisir de la lire, ta description physique est un véritable rp où tu sème discrètement des informations sur ton apparence, surprenant, très bonne surprise !
_ Enfin quelqu'un qui se laisse vivre ! Qui se laisse les plaisir et la violence qu'on lui offre, en même temps en presque deux siècles ont va dire que tu as eu du temps.
_ C'est bien écrit, bien ficelé, on comprend tout, si ce n'est que l'attaque qui t'a rendu aveugle et infirme reste un peu floue mais on en demande pas plus.
_ Tu as donc un coeur, ça promet d'être intéressant.

A part ça, rien à dire, c'est beau, c'est pas Bosch et c'est validé !
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MessageSujet: Re: Les mauvaises habitudes ont la vie dure !   Les mauvaises habitudes ont la vie dure ! EmptyMar 27 Juil - 19:40

    C'est un peu gore l'attaque qui a rendu Raion aveugle, en revanche ça promet d'être intéressant de jouer avec lui =D Et puis, le reste sera dévoiler en rp, principalement comment il a perdu son œil et sa jambe ^-^
    Enfin, seulement si quelqu'un arrive à lui faire cracher le morceau, il est tout à fait capable de garder pour lui tout seul et plonger plus profondément dans les ténèbres que n'importe qui XD
    Merci pour la validation en tout cas, je tâcherais d'en être digne !
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